Dernières réponses | | Je connaissais le nom de Serge Lutens pour avoir lu quelques articles dans des magazines. J'avais trouvé Féminité du Bois, original mais sans plus. Depuis quellques années j'étais déçue par les nouveautés des grandes marques qui me plaisaient tant autrefois.j'étais lassée de ces odeurs chimiques... Puis, à l'automne, je cherchais un parfum ambré et les participantes d'un forum parfum m'ont conseillé Ambre Sultan. Et, là....déception! Je cherchais un ambré rond, féminin et caramélisé et j'ai senti... des feuilles de laurier. Mais j'en ai profité pour sentir les autres exports et je suis tombée sous le charme de Bois Vanille. Bien qu'ils ne plaisent pas tous, j'ai trouvé qu'il s'agissait de parfums raffinés, originaux et j'ai demandé les concrètes du SPRS. J'ai immédiatement éprouvé trois coups de foudre pour Iris Silver mist, Tubéreuse criminelle et Chêne. D'autres m'ont intrigué : Cherghi, Rahat Loukoum, Cuir mauresque et Fumerie turque. Aujourd'hui je possède Bois Vanille, Iris Silver Mist, Cherghi et Rahat. Mon attirance pour les deux premiers ne s'est pas démentie, j'aime bien Rahat, j'ai plus de mal avec Cherghi. Il me plaît dans le flacon mais sur moi, j'ai l'impression qu'il n'est jamais "en accord" avec mon humeur ou la saison. J'attends l'automne. Peut-être sa flamboyance métallique révèlera sa splendeur à ce moment-là. Maintenant, je me sens attirée par Rose de Nuit qui m'avait paru un peu vieillote de prime abord. Quel merveilleux univers que celui de M. Lutens ! j'attends avec impatience la fin du printemps pour m'offrir Tuibéreuse ou Rose de Nuit en prévision des soirées d'été... |
| | Ma rencontre avec ces parfum est loin d'être terminée! Ce n'est que très récemment, il y a trois mois, que j'ai entendu parler de ces parfums magiques, sur un forum de parfums... Les descriptions ont piqué ma curiosité, et je m'approche doucement des Lutens avec pour commencer la gamme export. Je me suis offert Un bois vanille qui me correspond totalement, et récemment Douce amère, un pur bonheur. La prochaine étape sera bien entendu les salons, mais rien ne presse, je veux apprivoiser doucement ces effluves... |
| | Je ne connais de Serge Lutens que ces parfums dont certains me plaisent vraiment beaucoup. Tout simplement. Merci pour ces merveilles de richesse et de singularité qui ouvrent les voies du rêve, de la poésie... comme je l'ai déjà dit quelque chose entre ciel et terre : tout simplement le plaisir de vivre !! Caroline. |
| | Grande magazine-ophage, j'ai achete mon premier Lutens des 1995 je crois, a la suite d'un papier dans Marie-Claire peut-etre. Ambre Sultan m'a tout de suite adoptee , a la difference d'Encens &Lavande ou Fleurs d'Oranger qui detestent ma peau de blonde. Mais , deja a l'epoque , j'ai deteste le lieu , ses couleurs , ses artifices et son personnel. Rien ne me semble plus loin de la magie, des couleurs et de la chaleur de l'orient et du Maroc , qui inspirent tant Monsieur Lutens que ce decor desuet . Je n'ai pas change d'avis depuis . |
| | c'est une histoire de famille! ma maman ma offert féminité du bois, il y a maintenant 5 ans! il a suplanté tous les parfums que je portais alors! et puis il y a eus ensuite la gamme export avec d'abord datura noire, qui m'a envouté... et ma vie a fait que je suis venue vivre à Paris...la suite...et bien elle s'est jouée au palais royale évidemment! ce qui m'a seduit chez lutens, c'est son originalité! il se trouve que toutes les femmes de ma famille(et moi aussi)ont un moment donné approché de près le monde de la parfumerie, et le côté m'as tu vu, factice des jus récents ont fini par nous lasser! je ne trouvais alors mon bonheur que chez guerlain(que j'aime d'ailleur toujours!)et lutens a satisafait a merveille mon desir d'authenticité! |
| | Une rencontre en plusieurs temps J'ai "rencontré" les parfums Lutens en plusieurs étapes. Ma passion du parfum me faisait arpenter à partir de 10 / 11 ans le rayon parfumerie des grands magasins parisiens. Vers 13 ans, j'ai découvert Féminité du Bois et j'ai été passionnée, intriguée, interpellée, mais pas vraiment séduite (je devais être trop jeune ) et puis surtout je me contentais d'essayer, je n'avais pas les finances pour acheter des parfums. Quelques années plus tard, je suis allée aux SPRS et je n'ai pas passé la porte Trop intimidée, trop complexée, dans ma tête je me suis dit "je suis une intello, cet univers là n'est pas pour moi " Quelle idiote Puis septembre dernier, cette amie m'apporte les dernières gouttes du "Cuir Mauresque" de sa mère avec ordre de lui rendre le flacon une fois vide !!! Et alors là, j'ai reçu une énorme giffle. L'impression que la vie rentrait en moi, l'impression que nous nous étions mutuellement reconnus avec ce parfum. Je cherchais depuis toujours un parfum qui raconte vraiment une histoire, qui possède presque une vie propre, avec ses changements, ses bonheurs et ses drames, ses amours. ET JE L'AVAIS TROUVE !!! Ma vie a changé ce jour-là... vraiment. J'ai très vite pu tester La Myrrhe d'une amie, et j'ai compris que "mon" Cuir n'était pas le seul à être un parfum vivant racontant une histoire, son histoire et un peu l'histoire du monde . Dès que j'ai pu, je suis allée chercher des concrètes, n'osant toujours pas rester plus longtemps aux SPRS... et j'ai commencé mon inition à la culture "Lutens" émue de me découvrir des influences communes avec le Maître : Mallarmé, le désert, Hysmans, Proust, Rilke, Bergman ... autant d'éléments qui peuplent aussi mon univers. Voilà... Le début d'une belle aventure dans ma vie qui durera longtemps, je l'espère. Dès que je le pourrais, j'irais aux SPRS dignement acheté "mon" Cuir et en tester d'autres. Panthère PS : Désolée si j'ai été trop longue |
| | En ce qui me concerne, je ne me rappelle plus trop comment j'ai découvert Lutens. Je suis un passionné de la parfumerie depuis... depuis... oh la la !! Depuis pratiquement 20 ans (ouarf !). Aux débuts de la marque, il y avait souvent de petits encarts des journalistes à la fin de certaines revues (elle, marie claire etc...) avec l'adresse à laquelle se renseigner. Ce que j'ai fais car cette marque très différente m'attirait. J'ai retrouvé dans toutes mes archives le premier courrier des SPR. Il date du 7 janvier 1995 !!! A l'intérieur il y a de petits fascicules violets expliquant les différents parfums de l'époque (Bois et musc, Bois oriental, bois et fruits, bois et violette, Ambre sultan, Rose de nuit, Iris silver mist et un bois sépia), un bon de commande (prix : 500 FF - 3617 salons shiseido !!!) et des touches olfactives imprimées du nom de chaque parfums, envelopées individuellement dans un sachet transparent fermé par une étiquette violette. Les odeurs n'ont pas bougé. Ce fut donc le début de ma relation avec notre sergeounet !! J'ai suivi régulièrement les créations de Serge Lutens et c'est en 2000 que tout a vraiment commencé lorsqu'on m'a proposé de vendre la gamme export. J'ai dis oui tout de suite. |
| | J'ai découvert Lutens sur des forums "parfums". Quel bonheur ! je me rends compte dans mon entourage que ce sont encore des parfums méconnus et confidentiels, malgré l'essor que prend la marque. |
| | Citation :
"Chergui" était la dernière création de Serge à l'époque. Que de changement depuis! Et de jolies choses aussi. Suivirent rapidement "Datura noire" et "Santal blanc", "Fleurs d'Oranger", "Un Bois Vanille", "Clair de Musc" et récemment, "Fleurs de Citronnier". Puis, grâce au forum, les descriptifs des nouvelles éditions aux SPRS, parmi lesquelles certaines me tentent particulièrement. Mais cela, c'est une autre histoire, un autre séjour à Paris aussi. |
J'ai omis "Un Lys". Comment ai-je pu? Tant de majesté, de classe, de raffinement...
Message édité le 26-07-2004 à 10:50:47 par celine |
| | Bonjour à tous, Ma rencontre avec M. Lutens remonte à fin de l'hiver 2001-2002, il y a peu de temps somme toute! Je cherchais un nouveau parfum, sensuel, raffiné, et étais un peu perplexe face à la quantité de jus soutenus fraîchement sortis. C'était un véritable boum! Les vendeuses m'ont proposé "Rush" de Gucci, "Madness" de Chopard, Costume National, Chacok, "Dior Addict", etc. Tous plaisants mais... Non satisfaite, j'ai précisé que j'aimais l'encens, les épices comme le cumin. Soudain, une étincelle dans les yeux de la vendeuse: "J'ai quelques fragrances qui devraient vous plaire, auxquelles mes collègues ne pensent généralement pas car elles sont un peu hors normes, ne plaisent qu'à peu de clientes". Il s'agissaient de "Nu" d'YSL (eau de parfum, pour laquelle j'ai craqué dans les mois qui suivirent), et "Arabie" de notre Serge. Elle m'a précisé que les Lutens n'étaient que très peu distribués, ce qui les confortait dans leur originalité. Il n'en fallait pas tant pour titiller ma curiosité! J'ai donc également essayé "Féminité du Bois" , n'ai pas osé testé "Ambre Sultan", pensant que je n'aimais pas l'ambre (Ô douce idiote!), et ai finalement quitté le magasin avec les 5 échantillons de jus disponibles à ce moment-là: "A la Nuit", "Ambre Sultan", "Arabie", "Douce Amère" et "Sa Majesté la Rose". Bien sûr, tous ne m'ont pas plu, mais c'était trop tard pour revenir en arrière, j'étais convaicue, convertie, contaminée! Puis, en juin de la même année, petit séjour à Paris (Roland Garros pour mon homme), et passage obligé par les SPRS que l'on m'avait renseignés. Quel cadre, quel univers, quelle prestance, ces femmes en noir, quelle réserve aussi! J'ai essayé de ne pas me laisser impressionner et d'être la plus précise possible dans mes goûts (pas facile quand on a un pauvre nez et une culture olfactive assez restreinte). La vendeuse a été patiente, de bon conseil, m'a vaporisé deux fragrances sur les poignets, et laissé repartir avec la vague promesse que je reviendrais après avoir laissé évoluer chaque senteur. Au bout d'une bonne heure, après avoir consulté l'avis de mon tendre, c'est pour acheter "Chergui" que j'ai à nouveau franchi la prestigieuse porte. Toujours le même accueil, distant mais courtois. "Chergui" était la dernière création de Serge à l'époque. Que de changement depuis! Et de jolies choses aussi. Suivirent rapidement "Datura noire" et "Santal blanc", "Fleurs d'Oranger", "Un Bois Vanille", "Clair de Musc" et récemment, "Fleurs de Citronnier". Puis, grâce au forum, les descriptifs des nouvelles éditions aux SPRS, parmi lesquelles certaines me tentent particulièrement. Mais cela, c'est une autre histoire, un autre séjour à Paris aussi. |
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